A l'heure de l'épreuve, ma conviction s'affirme : plus les humains vous disent qu'ils vous aimeront jusqu'à la fin de votre vie, plus je vous conseille de ne pas le croire. Emue par le cri de détresse d'une femme sur son blog, je lui ai donné mon numéro de téléphone et son conjoint virtuel le prit avant qu'elle ne l'ait détruit. L'homme me faisait peur. Violent, obsédé sexuel, catholique mystique point qui m'a touchée. S'il arrivait qu'elle lise cet article, je lui offre " Les désenchantées " de Loti.

Je fus leur proie. Ils m'ont jetée. J'eusse apprécié qu'ils ne me dérangeassent pas. Qu'ils se démerdent avec leurs conflits et qu'ils consultent des ébourrifés (cf http://elisabethdehautsegur.over-blog.com). Ils m'ont tuée, à leur insu. Ils ne réalisaient pas ce qu'ils me faisaient. Des lecteurs ont été blessés par eux, surtout par l'homme violent dont j'avais peur. Que la femme admette ce qu'elle m'a demandé d'écrire à Guy Gilbert au sujet du harcèlement de cet homme dont elle garda la trace pour transmettre le SOS qu'elle adressait à son soit disant bourreau.

Je ne connaissais pas de gens aussi tordus. Heureusement, ils ne peuvent pas aller dans le désert à qui je confie, mes larmes et mon sang, mes joies et mes contemplations. Que je n'en entende plus parler.

"Mais chez vous

on ne nourrit pas le feu

on alimente l'ombre

sous ses pas

Votre sourire avait des cicatrices

sur les joues.

Blessés de quel chagrin

compagnons africains

qui dansiez, tam-tamiez tant

la nuit durant

que le jour le silence résonnait?" Gilles Baudry, Dapong (Nord Togo)

Un rire sur des feuilles de journalier retrouvées, hier! Nous avions pris un fou rire car je nous mimais contant l'agression après coup (c'est le cas de le dire). N'oubliez pas l'anarchiste d'overblog. Il est temps de faire tomber les préjugés. L'anarchiste avait une bible dans son sac et attaqua les agresseurs pour la récupérer. L'auréole pousse, la tête démange : je vous en prie, gardez votre sang froid. Soeur Emmanuelle rêvait d'un vitrail sur lequel elle serait vierge et martyre, oubliant qu'elle pouvait être martyre en perdant sa virginité. Ôtez cette auréole : elle ne répond pas aux critères.

Prolétaires de tous pays, défendez-moi contre l'apothicaire qui veut m'imposer un psy à qui causer des jeux para-olympiques de mon père en déambulateur. Je lui demande de la came de son épicerie. Elle veut m'envoyer chez un psy" non conventionné" lui ai-je arraché du cerveau. Je suis Mamyanar en écho à Papyanar pour qui j'ai écrit un article sur overblog. Si j'étais ma mère, la pharmacienne subirait une réponse l'obligeant à consulter un psy!!!!

"Sept cent millions de camés qui crient : et moi, et moi, émoi". Overblog a censuré mon article, hier! L'apothicaire ferait-elle partie du KGB ? Non, ce doit être La CIA !!!

Overblog a censuré un article avec pour titre " sept cent millions de camés..." Maman, j'ai fait une grosse bêtise? Ni médicaments, ni argent, ni téléphone. Lucifer s'y promène de temps à autre mais il s'éclate dans les casseroles du curé d'Ars. Pour les emmerdeurs comme pour ceux qui s'étale les côtes en long, Lucifer revient avec sept démons après le ménage.

Je vais tenter d'écrire à So

Sur Google, vous aurez divers éléments au sujet de "Les Mystères de Saint Exupéry" sous titre "enquête littéraire " Jean-Claude Perrier. L'ouvrage est dans ma bibliothèque mais je préfère celui  qui se dit philosophique d'où ressortent trois clefs de vie : PRESENCE TOTALE A L' INSTANT, ACTION ENGAGEE ,OEUVRE. Voici qui suffit à donner un sens à son existence. En tous points, est sous-jacente la relation solidaire dans l'action engagée, dans l'atelier des artistes, et dans l'instant où s'entend le murmure des mots humains.

Se pourrait-il que ces trois dimensions soient celles par lesquelles le sevrage peut réussir? L'angoisse est une hypothèse erronée sur l'avenir et cesse dans l'instant (cf méthode Wittoz)? Il me semble avoir mes clefs mais j'ai des problèmes de sous. Celui qui m'accompagnera devra être à mes côtés pour diminuer les doses et me  centrer sur mes trois clefs. Affaire peu rentable que nul ne voudra faire. Un de mes amants du Club Alpin section sportive (Pour  Paris, ce sont les termes employés) avait aidé sa mère à stopper le temesta.

Juif, il voulait m'imposer des ablutions non compatibles avec ma contraception, le produit détruisant les vilains spermes dont l'éponge est imbibée nécessitait un savon compatible (basique). La pillule me rendait malade. Il me reste à vivre mes trois clefs sans espérer trouver un compagnon sur ma route...