En lisant le deuxième article du jour sur overblog, vous trouverez un rire, un parfum d'Afrique, une bonne caricature de moi-même. " De Dunkerque à Tamanrasset"...Pardon, je ne connais pas Dunkerque. Où habite celui que je cherche sur overblog : rue de Paradis (je crois que c'est la rue la plus chère), la cannebière (tout dépend du patrimoine de ce gentleman), aux abords du port pour obéir à ses racines et suivre la trace de sa famille d'enfance.

Indécence (un commentaire de l'article précédent), frou frou de tenues de fêtes touarègues où je me faufile derrière Charles de Foucauld dont les recherches sont à la bibliothèque de L'ORSTOM (devenu IRDR?), velouté épais de la peau noire et odeur forte de transpiration. En moi, tout s'affole mais bien fol est qui s'y fie, je me jette sur la peau noire goulûment." On" tombe le chèche, "on" lève le i grec, et la suite est censurée pour les enfants trop précoces!!!!

Odalisque non indécente mais bien dans sa fonction aimant de tout son corps et de son coeur trois fantômes voilés. Trois en raison de tout le symbolisme de ce chiffre et parce qu'au-delà apparaît l'indécence.

Sanglots ébranlant la terre, ébranlant la mère. Je viens d'écrire un article sur http://elisabethdehautsegur.over-blog.com

Je voulais vous le transmettre à cause des références que j'ai indiquées au fil du texte repris. J'attends toujours l'article dans ma boite mail. Il est sur overblog.

Je ne suis pas surhumaine et je craque si les autres m'oublient. Vous avez la bonne tactique pour tuer quelqu'un : couper tout lien humain. Les expériences faites sur des enfants (ce que je trouve atroce)montrent que tous les enfants meurent en l'absence de relation. JE CRAQUE : PAPYANAR, IL EST INDECENT DE NE PAS TENIR SES PROMESSES.

Pose la braise sur ma bouche pour que d'elle ne sorte plus de mots destructeurs, de mots posés avant de les avoir entendus, brûle mon coeur et n'y laisse nul fiel, nulle ombre (cf article d'overblog), nulle douleur que j'enverrais sur autrui. Brûle jusqu'à l'épure. Entends-tu? LE MEMORIAL DE PASCAL ! Mémorial indiquant un lieu majeur où vivre est possible ou recevoir La Très Haute Tendresse que nous avons intérêt à ne point nommer davantage.

Nommer enferme et fait perdre la vraie saveur des mots. Il se pourrait qu'au dernier instant soit un seul mot synthétique. Ai-je envie de me tuer ou de me faire mal, d'arrêter ma vie ou de me punir d'une faute inconnue, celle d'être née (Le Procès de Kafka). Non. Cessez de m'étrangler, de m'ôter le souffle! Oui, je ne suis pas celle que vous voulez. Et de quel droit voulez-vous quelque chose de moi?Ne coupez pas mes racines nomades. Seul le désert peut m'accueillir.

Alors, je suivrai les traces de Théodore Monod pour ses explorations et sa quête d'épure. Oui, il faut couper mon corps, ôter le tropde volume comme en sculpture, parce que je suis corps, peau, peau appelant une autre peau. Quête de l'épure pour ce corps brisée par une opération m'ôtant ma féminité et me faisant prendre trente kilos. Jeûner "et prier sont plus que compatibles. Qui viendra recueillir les larmes d'une femme brisée?

Une femme médecin a osé dire à mon père que ses enfants risquaient de le trouver trop exigeant. Je suis horrifié et ai dit à mon père que cette histoire était fausse. Je vais aller voir comment les choses se passent dans la deuxième partie du mois de juin. Mon père est un malade facile prêt à plaisanter ce qui est précieux dans les recherches d'une solution pratique et non informatisée, les protocoles informatiques devraient être interdits en médecine. Il convient d'écouter le patient si patient!

Mon père est intelligent : il est inutile de lui raconter des balivernes. Il ne supporte pas d'être encagé dans des barrières. Je vais voir s'il en a vraiment besoin. En outre, du temps de Grand-Mère Lucy, de Grand-Père Caïn, la longévité était moins importante. J'ai expliqué à mon père qu'il fallait demander à Dieu de réviser son programme, certains organes s'usant trop vite. Il n'est pas possible de soigner sans amour ni sans humour. J'ai toujours plaisanté avec les malades, sinon c'est insupportable!

Cette médecin me plante un glaive dans le coeur : une vraie salope! J'ai trop mal pour en écrire davantage.

Sans un sou, je suis gênée pour trouver un emploi. Dans la douleur et l'angoisse, je vois mes médicaments descendre. Il m'en faut des doses colossales pour évacuer les pulsions suicidaires. Je ne sais que trop dans quel état je suis au point d'en avoir peur. Je n'ai pas besoin de médecin mais d'amour et d'estime en perfusion. Il aurait fallu que je maigrisse au-delà de la norme pour  pouvoir mettre mes vêtements élégants. Il n'y a pas grand monde : cela débranche la perfusion.

Un médecin homéopathe voit qui je suis. Je fus surprise de cette clairvoyance. Je ne peux pas vivre dans une telle insécurité, celle-ci relevant aussi de l'isolement. Tout est absurde en dehors de la relation. Je n'ai toujours pas compris  ce que sont, ce que font les amants virtuels !!! Cela manque un peu de consistance. Il me faut sauver ma peau et ce n'est pas aisé!